
Mon mari ne me touche plus ou mal. Un jour, rongée par la frustration, je me retrouve dans un bar, y rencontre un bel inconnu pour une relation plus que torride qui se poursuivra même le lendemain, chez moi, alors même que mon mari se trouve à proximité. Je m’appelle Estelle, j’ai trente deux ans, et d’après mes amis, je suis extrêmement belle. Je suis très sociable, enjouée, et un peu espiègle, au grand dam de mon mari. Comme dans tous les couples, il y a des hauts et des bas, de petites disputes. Mais celle de ce soir était plus orageuse, son mari refusant d’avoir une relation intime. Frustrée, je partis en claquant la porte. Je pris ma voiture et me dirigea vers le centre ville à la recherche d’un bar pour prendre un verre, mais aussi pour me changer les idées. J’en trouvais un. Je me garais. Quand j’entrais, je sentis les regards se poser sur moi. Il est vrai que j’avais choisi une tenue audacieuse. Robe noire moulante, décolleté laissant apparaître la naissance de mes seins, escarpins de huit centimètres. mettant la cambrure de mon corps en valeur. J’aperçus un tabouret libre au comptoir, et m’y installais, croisant haut mes jambes. Je commanda une vodka orange, la bu rapidement, afin que l’alcool qui circulait dans mes veines me fasse oublier le tempérament irritant de mon mari. J’en commanda un autre, puis un troisième verre. C’est alors qu’un homme s’assit près de moi, commanda un whisky. Je le trouvais très beau, très séduisant, parfaitement à mon goût, ce qui réveilla en moi le désir que j’étais venu chercher. Excitée par l’alcool, mon corps en alerte se réchauffa. Perchée sur mon tabouret, j’éprouvais soudain un besoin irrépressible de me sentir femme. C’est suite à un coup de coude involontaire, que l’homme remarque ma présence. Il me sourit, un sourire ravageur qui déstabilise à lui seul, n’importe quelle femme. Gentlemen, il me proposa un verre. Je fis mine de réfléchir pour ne pas donner l’impression d’être une femme facile, puis acceptais. Il commanda deux cocktails. Il me dit s’appeler Julien, être de passage dans la région. Je lui dis m’appeler Estelle, et traverser une période orageuse dans mon couple. Il me murmura doucement à l’oreille, disant qu’une belle femme comme moi avait tout pour plaire à un homme. Je ne pus retenir un sourire. Après avoir étalé nôtre vie, il me proposa le restaurant. La culpabilité me rongeait un peu, Me voilà, une femme mariée en train d'accepter d'aller dîner avec un inconnu. Le restaurant était vraiment magnifique, avec une vue imprenable sur la ville. Julien a commandé le meilleur vin, et des plats raffinés. Petit à petit, la conversation est devenue plus personnelle. Il m'a parlé de son enfance, de ses rêves de ses frustrations.
- Vous savez Estelle, vous êtes très belle, vous avez quelque chose de spécial, une lumière divine en vous, poursuivit-il, me regardant intensément dans les yeux. J’ai senti mon cœur accélérer, on ne m’avait jamais parlé ainsi. Les heures passèrent, et me rendis compte qu’il se faisait tard, il était déjà minuit passée.
- Je pense que nous devons y aller, dis je à contre cœur. Julien a accepté et a demandé l'addition. Sur le trajet de retour, un silence tendu régner entre nous. Il a garé la voiture dans une rue déserte, non loin de mon immeuble. Nous étions assis là, à nous regarder.
- Estelle, murmura-t-il en s'approchant lentement de moi. Je savais que je devais l'arrêter, mais mon corps, lui, ne m‘obéissait plus. Nos lèvres se rencontrèrent dans un baiser intense et passionné. Les choses ont rapidement évolués. Bientôt, nous étions sur la banquette arrière, nos vêtements éparpillés sur les sièges. Après une rapide fellation, nous avons fait l'amour de manière urgente et sauvage. Je sentais son énorme membre s’enfoncer en moi, m’arrachant des gémissement de plaisir avant d’atteindre un puissant orgasme. C'était incroyable, électrisant, contrairement à tout ce que j'avais vécu. Julien me proposa de continuer la soirée à son hôtel. Mon cerveau criait non, mais mon corps, déjà sous l'emprise du désir me trahissait. Chaque fibre de mon être m'incitait à accepter. Pendant le trajet, excitée, je laissais sa main se glisser sous ma courte robe, frôlant mon intimité. Tout cela m’excitait. Arrivé devant sa chambre, je savais que franchir cette porte serait une erreur, mais je me retrouvais devant la porte, incapable de dire non. Une fois à l’intérieur, Julien m’effeuilla, se recula pour admirer mon sublime corps. Il se déshabilla à son tour. Tout se passa si vite. Un baiser volé, puis un autre et avant que je ne puisse le réaliser, nous étions enlacés sur le lit, entièrement nus. C'était intense, une urgence de désir et de passion incontrôlable, accompagné d’orgasme interminable. J'avais oublié mon mari, oublié mes promesses, nôtre dispute, je me laissais emporter dans cette nouvelle aventure, comme si cela pouvait m'apporter une forme de liberté. Le lendemain matin, je me réveillais dans un lit qui n'était pas le mien. Julien dormait à mes côtés, serein. Je me levais en silence rassembla mes affaires, me préparais à sortir quand il se réveilla. Tout en se frottant ses yeux, il proposa de me ramener. A contre cœur, j’acceptais. Arrivé chez moi, je lui proposé de rentrer prendre le café. Avant qu'il ne puisse puisse parler, je mis ma main devant sa bouche, lui murmurant que mon mari dormait à l’étage. Après avoir bu le café, je le guidais à la salle de bains. Mon cœur battait si vite, qu’il semblait résonner dans le couloir. Lorsque j’ouvris la porte des toilettes, je croisais son regard plein de désir. Sans dire un mot il m’attira, verrouillant la porte derrière lui. Le contact de Julien fut immédiat. Il me pressa contre le mur, ses lèvres trouvant les miennes dans un baiser plus intense que je n'avais jamais connu. Le choc initial s'est vite transformé en capitulation totale, mon corps a réagi immédiatement, chaque cellule aspirant à davantage de ce contact, à ce sentiment d'être vivante. Les mains de Julien glissèrent sur mon corps, explorant chaque courbe, de mes seins à mon ventre, ma chatte, tout ça avec une urgence qui me coupa le souffle. Il glissa ses doigts le long de la bretelle de ma robe, l'abaissant et révélant la peau douce de mes épaules, de mes seins, qui furent bientôt couvert de chauds baisers et de douces morsures. J’essayais d'abord de garder un certain contrôle, pensant malgré tout à mon mari qui dormait à proximité, mais me laissait emporter par l'instant présent, rendant chaque contacts, chaque caresses comme si c'était la première fois que quelqu'un me touchait de cette façon. Lorsque Julien remonta ma robe jusqu'à ma taille, révélant mes cuisses, je laissais échapper un faible gémissement mêlé de désir et de culpabilité. Mais toutes pensée sur les conséquences fut rapidement oubliée. Alors qu'il me soulevait et me plaçait sur le lavabo, ses lèvres retrouvèrent les miennes dans un baiser profond et exigeant. La froideur du marbre contrastait avec la chaleur émanant de nos corps, rendant la sensation encore plus intense. Julien baissa mon string avec une habileté qui me fit frissonner, ses doigts explorèrent chaque partie de mon corps, faisant remonter des sensations que j’avais oublié. Le désir entre nous était si palpable, qu'il semblait remplir le petit espace. Ses mouvements étaient déterminé, les pénétrations intense et je m'accrochais à lui, nouant mes longues jambes dans son dos, comme si j’étais au bord d'un précipice, sur le point de me jeter dans l'abîme du plaisir qui m’attendait. Les minutes qui suivirent furent une pure euphorie, le son de nôtre respiration haletante mêlé de murmures et de gémissement de plaisir résonnent sur les murs de la salle de bains. Je ne m'étais jamais senti aussi vivante, aussi désirée et quand nous atteignirent finalement l’orgasme ensemble, ce fut comme si le monde autour de nous disparaissait, nous laissant tous les deux dans ce moment de pur abandon. Cette relation fut torride, se concluant par trois orgasme. Sans bruit, Julien prit une douche et quitta la maison. Puis la réalité m'a frappé comme un sceau d'eau froide. " Que venais-je de faire " Plus tard, mon mari m'accueillit avec un sourire, ne me demandant même pas ou j’avais passé la nuit. Son innocence me déchira le cœur. Je me sentais indigne de son amour. Chaque moment passé avec lui était teinté de culpabilité. Je savais que je ne pouvais lui révéler la vérité, mais cette trahison me rongeait. Les jours suivants furent un véritable enfer. Chaque fois que mon mari me touchait, je ressentais un mélange de trahison et de honte.
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